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 "Comme une geisha" - Les paroles et définition de la "Geisha" -

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Tali
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Messages : 202
Date d'inscription : 26/12/2011

"Comme une geisha" - Les paroles et définition de la "Geisha" -  Empty
MessageSujet: "Comme une geisha" - Les paroles et définition de la "Geisha" -    "Comme une geisha" - Les paroles et définition de la "Geisha" -  Icon_minitimeJeu 29 Déc - 22:48

Comme une geisha

Les anges de l'artifice
Ont peint dans le décor
Mes notes et mes caprices
Dégradés rouge et or.

Passe par les coulisses,
Il est temps que je sorte,
Tu verras comme je glisse,
Fragile dans mon corps.

Comment être à toi ce soir ?
Comment être à toi ?
Comme une geisha,
Insoumise,
Docile à la fois,
Comme une geisha,
Elégante,
Dans mon désespoir.

Les anges de l'artifice
Ont fait tellement d'efforts,
Même si je suis triste,
Je chante haut et fort.

Quand le rideau tombe,
Quand la rampe est éteinte,
Renaissent les fantômes,
Leurs opéras, leurs étreintes.

Comment être à toi ce soir ?
Comment être à toi ?
Comme une geisha,
Insoumise,
Docile à la fois,
Comme une geisha,
Elégante,
Dans mon désespoir.

Comme une geisha,
Déshabille-moi des papillons noirs
Comme une geisha,
Des illusions volent dans le soir.

Je brûle d'être moi,
Tu gèles si tu cherches encore.
Je brûle d'être moi,
Tu gèles si tu cherches encore...

Comme une geisha ...

Auteur : Pascale Schembri
Compositeur : Frédéric Chateau

Recherches

Qu'est ce qu'une geisha ?

"Comme une geisha" - Les paroles et définition de la "Geisha" -  Ziyi-z10

Définition Générale

Une geisha (芸者, geisha), plus souvent appelée geiko (芸妓, geiko) à Kyoto, est au Japon une dame de compagnie raffinée réservée à une clientèle très aisée, dédiant sa vie à la pratique d’excellence des arts traditionnels japonais.

Le mot « geisha » peut s’interpréter comme « personne d’arts » ou « femme qui excelle dans le métier de l'art ».

Les geishas étaient nombreuses aux 18eme et 19eme siècle. Elles existent encore dans le Japon contemporain bien que leur nombre soit en constante diminution : estimé à 17 000 dans les années 1980, il n'est plus que d'environ 200 de nos jours, principalement à Kyoto dans le quartier de Gion.

Cependant, grâce à une meilleure communication sur les activités des geishas notamment par la télévision et internet, le nombre d'apprenties geisha (maiko) a connu récemment une nette augmentation.

L'institution multi-séculaire des geishas entretient un rapport étroit et complexe avec le phénomène de prostitution – entre idéalisation de leur rôle et de leurs activités, et réalités historiques et sociales. Il est toutefois certain que l'octroi de faveurs sexuelles par la geisha à son client n'a jamais été entendu comme systématique ou allant de soi.


Formation des Geisha


"Comme une geisha" - Les paroles et définition de la "Geisha" -  446610


Les geishas étaient traditionnellement entraînées depuis leur petite enfance. Les jeunes filles étaient vendues par les familles pauvres aux okiya, qui se chargeaient de les élever et d'assurer leur éducation.

Durant leur enfance, elles travaillaient comme bonnes, puis comme assistantes dans les maisons de geisha pour contribuer à leur entraînement mais aussi pour assurer le remboursement de la dette contractée pour le coût de leur éducation qui est souvent élevé.

En particulier, la plus jeune fille de l'okiya avait pour tâche de veiller à l'entrée et d'accueillir les geishas qui revenaient de leurs rendez-vous. C'est une forme d'entraînement traditionnel au Japon et qui perdure encore aujourd'hui, dans laquelle l'étudiant vit chez son maître, l'aide, le regarde pratiquer, l'assiste et exécute les tâches ménagères. Cet entraînement dure souvent plusieurs années.

Elles commençaient dès leur plus jeune âge à pratiquer un vaste éventail d'arts. La tradition japonaise veut que les enfants qui pratiquent les arts commencent « le sixième jour du sixième mois de leur sixième année », mais il arrivait que les futures geishas commencent plus tôt.


La formation des geishas inclut la pratique de plusieurs instruments de musique : le shamisen, instrument à trois cordes typique des geishas, mais aussi la flute japonaise ainsi que différents tambours traditionnels : le tsutsumi qui se tient sur l'épaule, l'okawa sur les cuisses, et enfin le taiko, le plus grand, que la geisha pose à côté d'elle et frappe avec une baguette. À noter que les airs de shamisen ne sont généralement pas inscrits sur des partitions, et les geishas les apprennent à l'oreille.

Elles étudient également le chanoyu (cérémonie du thé), l'ikebana (composition florale), la poésie et la littérature Japonaise.

La danse traditionnelle est étudiée par toutes les geishas afin d'obtenir un port gracieux et une démarche élégante, mais seules les geishas les plus belles et les plus douées sont encouragées à se spécialiser dans cet art.

Pour leur apprentissage, elles traversent une plus ou moins longue période (d'au moins un an) au cours de laquelle elles suivent et observent leur « grande sœur ». Elle n'ont alors pas de client, mais participent aux fêtes le soir, et vont à l'école la journée.

Cette période, qui dure quelques mois de nos jours, est appelée minarai, ce qui signifie « apprendre par l'observation ». En regardant et assistant leurs aînées, elles apprennent le kitsuke (port du kimono), l'art de la conversation, différents jeux (par exemple le jeu de celui qui boira le plus, avec un client), et l'art de divertir leurs clients.

Une fois devenues apprenties geisha, c'est-à-dire des maiko, elles accompagnent des geishas dans les maisons de thé, aux réceptions et banquets. Durant cette période, leur oneesan se charge de leur transmettre sa propre expérience de geisha, en échange de quoi elle perçoit un pourcentage des gains de sa « petite sœur ».

Cette méthode d'entraînement persiste encore aujourd'hui mais elle est raccourcie, étant donné que la majeure partie des geishas le deviennent à la fin de l'adolescence.
La formation d'une geisha se termine officiellement lors de la cérémonie dite du « changement de col » (erikae), où elle remplace son col rouge de maiko par le col blanc des geishas confirmées.

La tradition veut que la maiko soit mise aux enchères lorsqu'elle est jugée digne de devenir une geisha à part entière. A l'époque edo, leur virginité était vendue au plus offrant vers l'âge de 14 ans. Vers les années 50, la pratique est toujours vivace mais les enchères ne commencent que lorsque la maiko a fêté ses 18 ans. Leur virginité n'a pas de prix et atteint souvent des sommes tellement importantes que seuls de grands industriels peuvent se les offrir.

Le prestige en rejaillit sur leur firme. On donne le nom de danna à ces personnages richissimes qui n'achètent pas que la première nuit (mizuage) mais un ensemble de nuits s'étendant parfois sur plus d'une année. Souvent mariés par ailleurs, ils achètent, en fait, l'admiration de leurs pairs et n'ont pas toujours de relations sexuelles avec la maiko.

Aujourd'hui, les geishas n'entrent plus dans les maisons de geisha dès leur enfance. Devenir une geisha est désormais un acte entièrement volontaire, qui se fait souvent à dix-sept ou dix-huit ans.

L'apprentissage reste néanmoins long et difficile ; cependant, les geishas étant de plus en plus difficiles à recruter, les apprenties sont souvent chouchoutées par leurs aînées, ce qui contraste avec l'époque où leur travail était volontairement difficile, voire épuisant, pour s'assurer de leur obéissance.

La Geisha et son Danna


"Comme une geisha" - Les paroles et définition de la "Geisha" -  Danna110


Traditionnellement, chaque geisha avait un protecteur, un danna.

Aujourd'hui, il n'y a pas assez d'hommes riches pour que chacune ait son danna. Celui-ci est généralement un homme d'affaire, un directeur de société.

Il lui verse une pension mensuelle et lui paie son temps en plus lorsqu'elle participe à un banquet.

Traditionnellement, le dépucelage de la geisha était la prérogative du danna, mais dans certains cas, la maison en confiait le soin à un homme choisi pour sa délicatesse et qui payait très cher pour ce privilège, surtout si la geisha était convoitée et qu'elle excellait dans son art.

Le meilleur parti (quel qu’en soit le motif) deviendra le « Danna » de la geisha pour la période établie. Il pourra alors jouir d’un droit exclusif sur elle en matière de rencontres érotiques. Danna signifie traditionnellement « mari » en japonais.


Naturellement, le danna peut être un homme marié. Mais toujours est-il que la geisha et son danna concrétisent leur union érotique temporaire par une sorte de mariage officiel . Une cérémonie qui – inutile de le dire – se déroule en présence d'invités, dans les salons de l’immanquable maison de thé. On suppose que l’épouse officielle du Danna ne fait pas partie de l’assistance.


De nos jours, la geisha est plus responsable de sa vie sexuelle et elle doit attendre généralement l'âge de 20 ans pour trouver un protecteur. Ce qui ne l'empêche pas, socialement, d'être considérée comme célibataire, car tant qu'elle est dans la profession, elle n'a pas le droit de se marier.
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